mardi 8 juillet 2014

Les Chênes




Au pays des chênes verts, de la plaine jaunie,

Et des troupeaux à l'ombre des grumes de bois,

Des ruisseaux luisant tout au creux des prairies,

C'est un ensemble paisible que je vois là,



Il y a des bergers juchés sur les collines,

Ici le temps s'écoule entre tous ces murs blancs,

Blancs de cire, et contre lesquels jouent des gamines,

Autour des bâtisses dansent des effluves d'argan,



Les verts oliviers qui se mélangent à l'argile,

Ombragent les lieux de leurs longues branches fragiles,

Rafraîchissant la source et son eau claire,



Qui n'eut jamais rien à envier à la mer,

Rien n'a changé depuis que tu étais enfant,

Où comme Cendras tu effeuillais la rose des vents

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire