Au pays des chênes verts,
de la plaine jaunie,
Et des troupeaux à
l'ombre des grumes de bois,
Des ruisseaux luisant tout
au creux des prairies,
C'est un ensemble paisible
que je vois là,
Il y a des bergers juchés
sur les collines,
Ici le temps s'écoule
entre tous ces murs blancs,
Blancs de cire, et contre
lesquels jouent des gamines,
Autour des bâtisses
dansent des effluves d'argan,
Les verts oliviers qui se
mélangent à l'argile,
Ombragent les lieux de
leurs longues branches fragiles,
Rafraîchissant la source
et son eau claire,
Qui n'eut jamais rien à
envier à la mer,
Rien n'a changé depuis
que tu étais enfant,
Où comme Cendras tu
effeuillais la rose des vents
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